mercredi 13 mars 2013

Archives open ?

Ouais, j'avoue je révise. J'révise pas comme ça pour kiffer la vibe hein?

Bon faut que j'avoue autre chose, en fait ma période de chômage tombe presque bien puisqu'elle me permet de réviser tranquillement un concours d'attaché de conservation du patrimoine auquel je me suis inscrit (cela me fait penser d'ailleurs que je n'ai pas reçu les annales que j'avais demandé - hop, c'est noté, je les appelle demain).

Je suis actuellement entrain de lire Les Archives Ouvertes : enjeux et pratiques. Guides à l'usage des professionnels de l'information et je me rend compte que bon nombre de mes missions ont largement contribué, non pas au développement, mais à l'enrichissement de données dans ce système de Libre Accès.

(Re)découvrir après coup, que je faisais partie de tels projets scientifiques, fait naître en moi une certaine fierté. C'est bizarre, très souvent, lorsque je lis dans des ouvrages spécialisés des comptes-rendus de projets archivistiques et des différentes actions menées (collecte, conservation, numérisation, recherche, saisie, mise en ligne, etc.), je trouve le récit très captivant et ça me donne envie à mon tour d'écrire un article.

Pourtant, quand je fais partie intégrante d'un tel projet, j'ai du mal à prendre conscience de mon rôle et de l'importance de ce que l'équipe scientifique et technique met en place. 

J'arrive à la fin de ce billet je me demande pourquoi je l'ai écris...je relis plusieurs fois les dernières lignes et en fait, je crois que j'ai écris ça juste pour confirmer mon intérêt pour ce métier et l'envie de progresser ! (ouais ouais).

vendredi 1 mars 2013

Bases saines

Lorsque l'on (re)construit, les fondements sont importants, essentiels même. Ces derniers jours furent tendus en raison de plusieurs dates butoirs de projets, programmes, mise à jour de notre portail...

L'avantage, c'est que cela nous a obligé à repenser tout notre travail, à refondre notre façon de faire, notamment l'harmonisation de nos instruments de recherches, les noms des fichiers, etc. C'est réjouissant d'ailleurs de plancher longuement sur les efforts à fournir et en espérer des résultats positifs.

Cependant, tout ne roule jamais comme l'on veut, des réunions tous les deux jours résument notre boulot : du cérébral et non du concret. Avancer en théorie n'est toutefois pas aussi réjouissant qu'avancer dans la pratique.

Ce qui est paradoxal c'est qu'au moment où j'écris, mon contrat est terminé, mais je me sens encore impliqué dans des projets au sein desquels je me suis investi. On ne se refait pas !