samedi 28 mai 2011

Mais je cherche!

Aïe, aïe, aïe, c’est la course à l’emploi !

L’important est en fait de trouver le bon timing : « si j’envoie mes candidatures maintenant, de toute façon après ils n’auront plus le temps, ça tombe….euh…1…2…ouais bon, en septembre j’aurais surement des touches »

Encore faut-il savoir à qui écrire ! J’ai vite oublié les différents sites web d’offres d’emploi (à commencer par celui du pole emploi) car ce sont des sortes de sites hideux, tellement chaotiques que l’on à l’impression que la page entière est constituée de mots clefs et de bandeaux de pub à n’en plus finir…

Bon, Google étant quand même mon ami j’erre, je « sérendipite » sur quelques sites, quelques adresses, quelques sociétés et dès que j’y trouve un intérêt, c’est parti j’écris !

Alors écrire des lettres de motivation n’a jamais été une partie de plaisir, c’est surtout une vraie partie d’ennui au service de la répétition. Cela dit, gare à celui qui pendant la rédaction de sa lettre, tente de regarder la télévision, de discuter ou de boire son café, c’est la cata assurée : Monsieur au lieu de Madame, s’étonner de la brièveté de sa lettre à laquelle il manque un paragraphe, faire une faute, deux, trois, quatre, une goutte de café…poubelle (qui dans ces moments s'appelle souvent "p...tain!").
  
Après avoir écris quelques lettres, on n’est pas peu fier d’y associer son beau cv qu’on à imprimé (ou fait imprimer) en X fois sans se soucier de celui qui avait besoin de l’imprimante après nous. Ensuite on pli en trois le tout, alors là, chacun sa technique, au départ on mesure, après on fait au pif, et finalement, après quelques années de rodage et quelques conseils, on fait ça bien pour l’emploi de sa vie et on la glisse (notre vie) dans l’enveloppe.

Evidemment, je ne vous cache pas que les premières réponses sont négatives mais quand même encourageantes. Je ne désespère donc pas puisque c’est ce à quoi je m’attendais, après on ne sait jamais, il suffit qu’une candidature soit retenue pour que mon travail soit récompensé !


Allé, je m’y remets tiens.

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