mercredi 26 septembre 2012

Quand ma boite se transforme en "Enterprise" de Star Trek

Oui alors c'est assez peu commun ce genre de chose c'est vrai. Je trouvais pourtant nos locaux plutôt modernes déjà mais depuis ce "tuning scientifique" j'ai autant l'impression d'être dans un vaisseau spatial imaginé dans les années 80 qu'au fin fond de l'unité central de mon pc...

Alors comme dirait l'autre "comment ça marche?!". Enfin là c'est plutôt "Pourquoi?". En fait, va se dérouler à la MSH, la Nuit des chercheurs (http://experimentarium.u-bourgogne.fr/blog/) durant laquelle historiens, chimistes, agréocologues, climatologues et ben d'autres encore feront découvrir leurs passion et leur façon d'imaginer le futur.

Moi je trouve ça cool, disons que ça transforme le lieu de travail, de la à dire que ça égaye la journée j'en sais rien, un coup d’œil à la fenêtre et la pluie me rappelle que les jours sont moches (pouah les jours !).

En attendant, je commence à prendre peur...et si vendredi, le jour de l'événement, le bâtiment se mettait à se détacher du sol pour filer à la vitesse de la lumière dans l'hyperespace???






dimanche 23 septembre 2012

le grand public et les autres...

La mise à disposition des archives auprès des lecteurs pose non pas un problème, mais un dilemme, encore plus lorsque le projet de valorisation en aval est financé par un ministère qui ne jure que par "le grand public".

En fait le problème, ce sont les divergences de points de vue. Un fonds d'archives, même d'une institution tel qu'un théâtre ayant un rapport sinon avec le "grand public", avec un public, reste un fonds d'archives (obscur un peu). Si en plus, celui-ci est est valorisé via une plate-forme web, aussi moderne soit-elle, d'un laboratoire de recherche en sciences humaines et sociales, on se trouve déjà loin du "grand public".

On pourra créer du visuel en insérant ça et là des images, promettre de la visibilité en éditant quelques liens judicieux sur des sites internet d’institutions reconnues mais honnêtement, cela ne sera pas suffisant. Non car un fonds d'archives, même si c'est un fonds iconographique, il faut une raison pour le consulter et bien souvent, cette raison est scientifique.

Autrement-dit, entre là-haut et en bas, le discours restera différent, même si le travail effectué suit parfaitement le cahier des charges, le résultat désiré n'aboutira pas forcément. Un jour peut-être, là haut et en bas, s'accorderont.

mercredi 12 septembre 2012

"Tu t'laisses aller"

Je me laisse aller je trouve car ça fait un petit moment que je n'ai pas posté. Ce n'est pas que je n'ai rien à dire ou que je me lasse, non...enfin j'espère.

Mon post précédant sur ma période de chômage manquait de clarté, peut-être parce que ma situation en manquait tout autant. Cela-dit, il y avait aussi de ma part un manque d'implication dans le post qui a entraîné encore un autre manque d'implication ensuite.

Toujours est-il comme dirait mon père, que je ne suis plus au chômage, que j'ai récupéré mon bureau, un poste, un cdd, même deux et que cette situation que l'on pourrait qualifier de précaire me convient. Je suis jeune, ma compagne termine ses études et sa future situation conditionnera surement la mienne. Je ne cours donc pas tout de suite après un cdi. 

Ce qui me convient aussi dans ma situation c'est que chaque contrat est une mission archivistique différente qui me permet d'approcher des problématiques sous des angles multiples et par conséquent, d'enrichir mes compétences en la matière. Je prend plaisir à travailler sur certains logiciels ad hoc en me creusant la tête afin de déterminer quelle sera la meilleure solution pour obtenir un instrument de recherche pertinent. C'est là que les termes "ingénieur", "laboratoire" ou encore "recherche" qui qualifient mon secteur professionnel prennent leur sens.

Je me laisse donc aller à la réflexion après m'être juste simplement laissé aller...