mardi 20 mars 2012

XnView MP save my life.

Les archives numériques ou du moins numérisées (c’est pareil non ?), soulèvent de nouveaux problèmes. Ici, j’évoquerais surtout le cas des images déjà nommées stockées sur un disque dur mais pas toujours dans le bon ordre, c’est notamment le cas pour des photographies d’archives par exemple. Le fait que celles-ci soient déjà nommées oblige à effectuer un travail très, sinon trop méticuleux, de « renommage » au cas par cas. Ce qui s’avère en réalité être un véritable casse-tête et une perdre de temps importante.

Je me suis donc mis à la recherche d’un logiciel, gratuit, qui pourrait répondre à mes attentes et j’avais finalement sélectionné selon les descriptions lues sur le web : Picasa et XnView. J’ai donc harcelé pendant quelques jours l’administrateur informatique pour qu’il vienne m’installer tout ça vite fais puis miracle ! On toque à ma porte ! C’est lui tel un Messie ! Hop, en 5 minutes les deux softs sont installés, merci.

J’ouvre donc Xnview qui m’avait en plus été conseillé par un collègue. Effectivement, l’interface est simple, on peut, dans le même logiciel, renommer les images par lot, avoir les données EXIF des vues, avoir un aperçu mais…mais je n’arrive pas à déplacer mes vues sans avoir à les renommer.

Je désespère…pas trop quand même, j’ouvre « google », balance un tas de mots clef « glisser », « image », « dossier », « xnvieux…(arf)…xnview » et je tombe sur un forum dans lequel les « forumeurs » parlent d’un certain « XnView MP ».  Je m’informe, je me renseigne, je télécharge car en plus ce gratuiciel ne nécessite aucune installation. Je le lance, je tente de glisser une image avant une autre…MIRACLE ! Le deuxième de la journée, ça fonctionne !

Bref, ce logiciel multi-plateforme est hyper complet, c’est un XnView ++ ou MP…qui est destiné à remplacer le XnView classique (et qui me fait gagner du temps).

ça dépend...



mercredi 14 mars 2012

Archi-moderne


Je ne suis pourtant pas allergique à la poussière et pourtant, j’ai le privilège (ç’en est un ?), de travailler sur des archives « numérisées ».  En effet, l’une de mes missions à la MSH (Maison des Sciences de l’Homme de Dijon) est de traiter un fonds de l’ancien musée des Arts et Traditions Populaires de Paris (futur Mucem à Marseille) qui a été photographié là-bas pour être traité ici (photographié oui, disons que c’est la numérisation d’avant).

Pour les puristes (l’en reste-t-il ?), c’est vrai que ça manque de sensations. Le touché, l’odeur du papier, les boites, la poussière ! Je dis CLICHÉ ! Enfin un peu, car au fond de moi-même j’aimerais bien que tout ça ne se perde pas (peut-être un peu puriste alors). 

Seulement, à terme, il se peut que nous archivistes, ne traitions plus que des archives numériques.

Mais quand ?


jeudi 1 mars 2012

Un premier article


Ce n’est pas tant pour l’article que j’écris mais plutôt pour marquer le coup de la fin imminente de ma mission au SHD. Je ne cesse de tout faire au ralenti, aller dans les rayonnages des magasins chercher mes derniers cartons, pousser une dernière fois mon chariot dans les longs couloirs, etc. Tout ça pour « profiter » des rituels presque mécaniques que je ne ferais plus. Il y a effectivement un brin de nostalgie, juste un brin, dans cette fin de mission…comme pour mes stages d’ailleurs, avec ce sentiment d’en savoir un peu plus.



Partir, de toute façon, de n’importe quel endroit, fait et fera toujours quelque chose. Cela dit, je pars pour rentrer chez moi et débuter une nouvelle mission dans une nouvelle structure, d’où cette nostalgie toute relative. Aussi, j’aurais retrouvé Paris l’espace de 4 mois, 2 ans après l’avoir quitté.



Pour en revenir à l’article, il traite du Levant évidemment et sera publié dans la revue Combats & Opérations, je n’en sais pas plus. Plus précisément, la préparation, à la fin des années 30, du retrait des troupes françaises (l’Armée du Levant) du territoire Syrien passe par différents accords. En ce sens, j’ai choisi d’évoquer les relations franco-turques sur les questions territoriales entre la Syrie et la Turquie à travers un accord signé en juillet 1938 par les états majors Turc et Français concernant le Sandjak d’Alexandrette (territoire syrien cédé à la Turquie 1 an plus tard).

Accord général de 1937 entre les états-majors turcs et français sur le sandjak d'Alexandrette (in Combat et Opérations n°2)