Noël dernier, après avoir
consommé mon apéritif, j’ouvre mes cadeaux. Parmi eux, ce livre…Dans les archives secrètes de la police.
Bon, je ne sais pas si c’était le Porto qui me rendait rabat-joie, mais
intérieurement, en lisant le titre, j’ai pensé qu’un bouquin ayant pour thème
mon boulot n’allait franchement pas m’emballer. Alors voilà, je lis la 4ème
de couverture et je le range.
Quelques mois plus tard, l’inactivité
aidante, j’explore ma bibliothèque et je retombe sur ce livre. Je me lance, j’avale
préfaces, introductions et avant-propos historique
(j’en apprends un peu plus sur l’histoire et l'évolution de la police) et j’entame la lecture. En fait, l’ouvrage se
compose de plusieurs nouvelles, relativement courtes toutefois, s’appuyant sur des documents d’archives et
rédigées par différents auteurs connus ou non (j’ai une licence de Lettres
Modernes mais je suis très peu la littérature contemporaine donc pour moi ce
serait plus « ou non »). L'ouvrage est divisé en trois parties : l’argent, le
pouvoir et l’amour. Ces nouvelles relatent des faits réels et mettent en
avant quatre siècles d’Histoire, de crimes et de faits divers.
Le vol de « la malle des
Indes » en novembre 1911 avec plus d’un million de franc-or dérobés, la Marquise de Brinvilliers l’empoisonneuse ou encore Landru, le tueur en série
qui braisait les restes de ses victimes à la poêle mais aussi les premières techniques allant vers la police scientifique. J'en passe car je n’en suis qu’au début.
Finalement, je trouve ce bouquin
aussi voir plus passionnant que les séries policières en tout genre qui inondent
nos téléviseurs. Alors certes, je vais me coucher tôt, mais c’est pour mieux me
plonger de ces sombres histoires de crimes passées.
Collectif, sous la direction de Bruno Fuligni. Ed. Gallimard (Folio), 550 p.
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