lundi 17 décembre 2012

Élections, bon travail, aie, Noël...bref

Mes publications me paraissent de plus en plus espacées dans le temps. Je ne sais pas si c'est bien ou mal mais du coup, j'ai plusieurs choses à dire dans un seul post et pourtant, il me faut être concis (oui c'est moi qui me suit dit, "plus c'est concis, mieux c'est"..c'est mieux?).

Élections

Alors, d'abord j'ai tenu pour la première fois de ma vie un bureau de vote. Rien à voir avec la pagaille à l'UMP pis surtout je sais même pas pourquoi je parle de ça on s'en tappe. Non, ici c'était des petites élections internes (personnels administratifs, enseignants, chercheurs...). C'était l'occasion pour moi de croiser d'anciens profs avec qui j'avais rien de plus à dire que ça,  l’occasion aussi de ne pas reconnaître l'ancienne directrice de l'Université et lui demander sa CI et l'occasion pour moi de prendre des photos du hall du bâtiment.

Bon travail

C'est en gros ce qu'il s'est dit lors de la dernière réunion concernant la mission de numérisation du fonds d'affiches du TDB et de son instrument de recherche. Même si tout cela à pris un peu de retard, le résultat est plutôt satisfaisant. Reste à régler quelques détails, quelques corrections...et puis le travail sera définitivement terminé et surtout totalement en ligne!

Aie!

"Le plus dur c'est pas la chute, c'est l'atterrissage" disait Hubert dans La Haine...J'avoue. En me rendant au travail à vélo car oui ou plutôt non, je ne veux pas polluer la planète et puis surtout, ça me saoule de conduire pour si peu de km donc je prend le vélo..enfin, mon épave. Ce jour là, pas de chance, la chaussée est glissante et patatra ! Ma roue avant part dans le zig alors que je voulais aller dans le zag (Thierry Roland, rest in peace!). Une dame fait mine de s'arrêter mais je lui fait comprendre d'un signe de la main "non non ça va". Oui, mon vélo roule, le guidon est droit mais mes fringues sont abimées et mon bras me fait mal. Bref, une semaine d'arrêt et 8 séances de kiné et le pire, c'est que je sais toujours pas ce que j'ai malgré radio et éco...bref, l'occasion de montrer que même notre salle de pause à des airs de fête (malgré mes arrêts de travail qui font désordre non?).



Noël

 On fait un repas entre collègues et ça c'est cool...Peut-être moins que la prise de congés forcées durant les fêtes...






mercredi 26 septembre 2012

Quand ma boite se transforme en "Enterprise" de Star Trek

Oui alors c'est assez peu commun ce genre de chose c'est vrai. Je trouvais pourtant nos locaux plutôt modernes déjà mais depuis ce "tuning scientifique" j'ai autant l'impression d'être dans un vaisseau spatial imaginé dans les années 80 qu'au fin fond de l'unité central de mon pc...

Alors comme dirait l'autre "comment ça marche?!". Enfin là c'est plutôt "Pourquoi?". En fait, va se dérouler à la MSH, la Nuit des chercheurs (http://experimentarium.u-bourgogne.fr/blog/) durant laquelle historiens, chimistes, agréocologues, climatologues et ben d'autres encore feront découvrir leurs passion et leur façon d'imaginer le futur.

Moi je trouve ça cool, disons que ça transforme le lieu de travail, de la à dire que ça égaye la journée j'en sais rien, un coup d’œil à la fenêtre et la pluie me rappelle que les jours sont moches (pouah les jours !).

En attendant, je commence à prendre peur...et si vendredi, le jour de l'événement, le bâtiment se mettait à se détacher du sol pour filer à la vitesse de la lumière dans l'hyperespace???






dimanche 23 septembre 2012

le grand public et les autres...

La mise à disposition des archives auprès des lecteurs pose non pas un problème, mais un dilemme, encore plus lorsque le projet de valorisation en aval est financé par un ministère qui ne jure que par "le grand public".

En fait le problème, ce sont les divergences de points de vue. Un fonds d'archives, même d'une institution tel qu'un théâtre ayant un rapport sinon avec le "grand public", avec un public, reste un fonds d'archives (obscur un peu). Si en plus, celui-ci est est valorisé via une plate-forme web, aussi moderne soit-elle, d'un laboratoire de recherche en sciences humaines et sociales, on se trouve déjà loin du "grand public".

On pourra créer du visuel en insérant ça et là des images, promettre de la visibilité en éditant quelques liens judicieux sur des sites internet d’institutions reconnues mais honnêtement, cela ne sera pas suffisant. Non car un fonds d'archives, même si c'est un fonds iconographique, il faut une raison pour le consulter et bien souvent, cette raison est scientifique.

Autrement-dit, entre là-haut et en bas, le discours restera différent, même si le travail effectué suit parfaitement le cahier des charges, le résultat désiré n'aboutira pas forcément. Un jour peut-être, là haut et en bas, s'accorderont.

mercredi 12 septembre 2012

"Tu t'laisses aller"

Je me laisse aller je trouve car ça fait un petit moment que je n'ai pas posté. Ce n'est pas que je n'ai rien à dire ou que je me lasse, non...enfin j'espère.

Mon post précédant sur ma période de chômage manquait de clarté, peut-être parce que ma situation en manquait tout autant. Cela-dit, il y avait aussi de ma part un manque d'implication dans le post qui a entraîné encore un autre manque d'implication ensuite.

Toujours est-il comme dirait mon père, que je ne suis plus au chômage, que j'ai récupéré mon bureau, un poste, un cdd, même deux et que cette situation que l'on pourrait qualifier de précaire me convient. Je suis jeune, ma compagne termine ses études et sa future situation conditionnera surement la mienne. Je ne cours donc pas tout de suite après un cdi. 

Ce qui me convient aussi dans ma situation c'est que chaque contrat est une mission archivistique différente qui me permet d'approcher des problématiques sous des angles multiples et par conséquent, d'enrichir mes compétences en la matière. Je prend plaisir à travailler sur certains logiciels ad hoc en me creusant la tête afin de déterminer quelle sera la meilleure solution pour obtenir un instrument de recherche pertinent. C'est là que les termes "ingénieur", "laboratoire" ou encore "recherche" qui qualifient mon secteur professionnel prennent leur sens.

Je me laisse donc aller à la réflexion après m'être juste simplement laissé aller...

lundi 20 août 2012

En attendant...

En ces temps de crise, j'ai de la chance. Ma dernière mission s'est terminée à la fin du mois de juillet dernier et ce sur un rythme assez soutenu pour peaufiner des détails de dernière minute. J'ai donc appréhendé avec sérénité cette période d'inactivité car comme je l'ai dit, j'ai de la chance. L'établissement dans lequel j'ai bossé me reprend dès septembre pour deux nouvelles missions. Bon c'est sur ce n'est pas du très long terme et encore moins du définitif mais ça permet de voir venir. Dans tous les cas, ce que j'y fais me plait !

Finalement, j'aurais été sans emploi un mois, le temps pour moi de prendre quelques jours de vacances mais aussi de faire un tour au pôle emploi pour réclamer un petit quelque chose de mes récentes activités. Seulement voilà, les deux établissements dans lesquels j'ai effectué mes missions sont publiques, donc indépendant du pôle emploi et bien sur, je n'ai pas reçu mes attestations. Ce que je sais, c'est que une fois les attestation acquise, le pôle emploi fait une demande de rejet auprès des établissements concernés qui devront ensuite me verser mes indemnités. 

Je pense donc recevoir un jour quelques sous dans longtemps...en attendant, vivement la rentrée. Tiens, il aura fallu que je ne sois plus scolarisé pour enfin dire ça !

jeudi 21 juin 2012

Arriver au boulot


J’ai hésité à appeler cet article, « arriver au bureau » mais je pense que le mécanisme humain que je vais évoquer est remarquable dans tous les jobs et pas seulement « au bureau ».

Comme tous les matins j’arrive à l’heure…(ça arrive, bien sûr) et c’est assez amusant comme tous les matins je croise plus ou moins les mêmes personnes.

-          Le matinal bosseur : déjà là depuis une heure voire deux, il a l’air détendu et sympa (il l’est) mais c’est un acharné. Bref, si je ne lui dis pas bonjour, je ne me sens pas bien.
-          Le matinal hagard : lui c’est celui que tu soupçonnes de passer ses nuits au boulot, tu le croise errant dans les couloirs quand tu arrives, tu le vois surchauffer dans son bureau quand tu pars. Il te salut toujours de loin…
-          Le collègue familial : c’est celui qui fait le même travail que toi, tu as instauré une certaine confiance avec et tu sais que ce n’est pas toi qui va le croiser mais lui qui va venir te voir, dans tous les cas !
-          Mister Blague : soit barbu, soit moustachu, soit les deux, il a toujours le mot pour rire, il ne peut pas te dire bonjour sans vanner, il est cool !
-          Le fatigué : il ne dort jamais (c’est ce qu’il dit), se frotte le visage tout le temps, boit beaucoup de café et aimerait même consommer autre chose que du café pour retrouver de l’énergie.
-          Le fantôme : celui-là, il ne parle pas, même quand il te dit bonjour tu ne l’entends pas, d’ailleurs personne ne lui parle, mais il est là, mais d’ailleurs, il fait quoi au juste ?
-          Les « pauseurs » : ceux que tu croises à la pause mais que tu recroiseras plus du tout de la journée, échanges de « salut ça va », de « salut ça va » et de « hahaha »…
Et moi au fait ? Je suis qui ?

mercredi 6 juin 2012

J'suis dedans là?

Je n'arrive pas à savoir si je prend du plaisir ou si ma chevelure se meurt doucement. Ouais, je bosse depuis un peu plus d'une semaine sur le logiciel d'édition XML <oXygen/> et je vacille entre l'excitation de mes trouvailles pour améliorer mon travail et l'agacement envers ce langage XML qui parfois me rend dingue. 

Je vous rassure, ma folie ne va pas plus loin qu'un (ou plusieurs) "arrff mais m..... pourquoi il ne veut pas me lire ça!!" devant mon pc, accompagné d'un petit sursaut sur mon fauteuil qui me fait reculer de quelques centimètres en arrière (oui, mon fauteuil est sur roulettes de très bonne qualité d'ailleurs).

Ceci étant dit, j'aime, même par obligation, observer l'aperçu de mon boulot sur des "visionneurs" en ligne  ou "online viewer" comme disent les américains (myxmliaxmlgrid) pour me dire que finalement, ça à de la gueule et que c'est presque magique !

lundi 4 juin 2012

Petit à petit...

Aujourd'hui, lors d'une réunion à laquelle était représenté le Théâtre Dijon Bourgogne, les Archives municipales (où j'ai eu l'occasion de faire un stage) et la MSH où je travaille actuellement, j'ai eu la confirmation que j'allais participer à nouvelle mission archivistique. 

Outre la collaboration entre les trois organismes cités plus haut pour la numérisation d'un fonds d'affiches, je me suis rendu compte aussi que j'avais bien un pied dans le métier et que les réseaux se tissent assez vite. 
En rentrant chez moi, l'éponge à la main devant ma vaisselle, je réalisais qu'une responsable d'Archives municipales m'avait complimenté sur ma façon de travailler, que j'allais faire encore une fois partie d'un projet archivistique important (numérisation & valorisation).

Ce n'est pas facile à dire mais maintenant je n'ai jamais été si proche des 30 ans et jamais été si loin des 20. Je crois que j'ai du mal à réaliser que j'ai la vie d'un adulte et que petit à petit, l'oiseau fait son nid.

lundi 14 mai 2012

Enfin !



Bon, je l’avoue, en ce mois de mai on s’ennuie sec. Les semaines sont, soient courtes, je profite des ponts et je pars, soient longues, ils profitent des ponts et ils partent. Du coup, tout ce qui peut casser la routine de ces semaines si particulières est le bienvenu. Voilà pourquoi on est toujours un peu content (juste un peu) quand on reçoit des fournitures, c’est un p’tit Noël…Je sais, c’est navrant de se réjouir pour des rangements de bureau quoi que,  ça fait moins négligé ; de se réjouir pour un lot de 12 doigtiers quoi que, pour un archiviste ça fait plus professionnel et enfin de se réjouir pour des stabilos quoi que, c’est rigolo de surligner !!

mercredi 25 avril 2012

J’suis en manque !


Ouais, je ne sais pas ce que j’ai en ce moment, je suis en manque de technologies. Alors peut-être que j’ai envie de dépenser du fric bêtement mais quand je suis au boulot à utiliser des logiciels performants, légalement, car sous licence, je deviens accroc. Arf, c’est peut-être de la jalousie. <oXygen/>, c’est top ! Quoi qu’un peu compliqué quand on oublie de s’y remettre de suite après la formation. Adobe Acrobat Pro, c’est top aussi. Je crée des pdf multipages à la volée, d’un simple clic, j’insère des métadonnées…mais tout ça, c’est au boulot (ouais).

En fait, ce que je veux je crois c’est « geeker » comme avant, une bonne régression coupable qui réunirait, dépense inutile, surconsommation électrique, mal bouffe, isolement social, fatigue oculaire et j’en passe. L’idée c’est que ce soit court mais intense. Après ça, le cerveau vide, je reprendrais mes activités normales…

vendredi 13 avril 2012

Histoire courte.


La semaine dernière, j’ai participé à la première partie d’une formation sur un logiciel XML : <oXygen/>. Cette première session permettait aux participants de se remettre un peu dans le bain via une « approche théorique de la description archivistique et bibliographique encodée ». La journée se passe, riche en informations et pour la prochaine séance, nous sommes invités à envoyer à la formatrice nos travaux en cours afin de les utiliser lors des « applications pratiques » sur Oxygen. 15 jours nous séparent de la seconde séance, le temps pour moi de revoir mon inventaire et de le travailler sur Excel

En tant que bon archiviste, j’essaie de me souvenir d’une manip’ de transfert d’un inventaire Excel vers Word vu lors d’un stage. Je bidouille, j’envoie un mail à ma tutrice de l’époque, je bidouille encore, c’est moche, ça doit pas être ça. Le lendemain, pas de réponse, je rebidouille, ça m’énerve alors je vais chercher dans mes fichiers de stage, je retrouve mes modèles, je rebidouille, c’est mieux mais c’est encore pas ça, je vais en pause. Finalement c’est pas si mal et je me dis que le café était un peu fort, je rédige tout mon inventaire, selon les normes ISAD(G), c’est long. Je regarde mes mails, je vais au toilette, je regarde de nouveau mes mails, ma tutrice m’a répondu avec en fin de mail « Je pense que tu as trouvé la solution seul depuis, mais c’était avec plaisir ! ». 

Deux jours avant la seconde séance de formation, j’ai transféré une, deux, trois….quatre fois mon inventaire sur Word pour voir si ça collait, ça collait, j’étais content. Mon téléphone sonne, je le prends : « allooo ?.. », j’avais pas décroché, « hrum, allo ? », c’était la formatrice, on parle de mes documents, de mon travail et de la façon dont je devrais le traiter lors des applications et enfin, elle termine en me disant : « de toute façon Word, faut oublier ».

mardi 20 mars 2012

XnView MP save my life.

Les archives numériques ou du moins numérisées (c’est pareil non ?), soulèvent de nouveaux problèmes. Ici, j’évoquerais surtout le cas des images déjà nommées stockées sur un disque dur mais pas toujours dans le bon ordre, c’est notamment le cas pour des photographies d’archives par exemple. Le fait que celles-ci soient déjà nommées oblige à effectuer un travail très, sinon trop méticuleux, de « renommage » au cas par cas. Ce qui s’avère en réalité être un véritable casse-tête et une perdre de temps importante.

Je me suis donc mis à la recherche d’un logiciel, gratuit, qui pourrait répondre à mes attentes et j’avais finalement sélectionné selon les descriptions lues sur le web : Picasa et XnView. J’ai donc harcelé pendant quelques jours l’administrateur informatique pour qu’il vienne m’installer tout ça vite fais puis miracle ! On toque à ma porte ! C’est lui tel un Messie ! Hop, en 5 minutes les deux softs sont installés, merci.

J’ouvre donc Xnview qui m’avait en plus été conseillé par un collègue. Effectivement, l’interface est simple, on peut, dans le même logiciel, renommer les images par lot, avoir les données EXIF des vues, avoir un aperçu mais…mais je n’arrive pas à déplacer mes vues sans avoir à les renommer.

Je désespère…pas trop quand même, j’ouvre « google », balance un tas de mots clef « glisser », « image », « dossier », « xnvieux…(arf)…xnview » et je tombe sur un forum dans lequel les « forumeurs » parlent d’un certain « XnView MP ».  Je m’informe, je me renseigne, je télécharge car en plus ce gratuiciel ne nécessite aucune installation. Je le lance, je tente de glisser une image avant une autre…MIRACLE ! Le deuxième de la journée, ça fonctionne !

Bref, ce logiciel multi-plateforme est hyper complet, c’est un XnView ++ ou MP…qui est destiné à remplacer le XnView classique (et qui me fait gagner du temps).

ça dépend...



mercredi 14 mars 2012

Archi-moderne


Je ne suis pourtant pas allergique à la poussière et pourtant, j’ai le privilège (ç’en est un ?), de travailler sur des archives « numérisées ».  En effet, l’une de mes missions à la MSH (Maison des Sciences de l’Homme de Dijon) est de traiter un fonds de l’ancien musée des Arts et Traditions Populaires de Paris (futur Mucem à Marseille) qui a été photographié là-bas pour être traité ici (photographié oui, disons que c’est la numérisation d’avant).

Pour les puristes (l’en reste-t-il ?), c’est vrai que ça manque de sensations. Le touché, l’odeur du papier, les boites, la poussière ! Je dis CLICHÉ ! Enfin un peu, car au fond de moi-même j’aimerais bien que tout ça ne se perde pas (peut-être un peu puriste alors). 

Seulement, à terme, il se peut que nous archivistes, ne traitions plus que des archives numériques.

Mais quand ?


jeudi 1 mars 2012

Un premier article


Ce n’est pas tant pour l’article que j’écris mais plutôt pour marquer le coup de la fin imminente de ma mission au SHD. Je ne cesse de tout faire au ralenti, aller dans les rayonnages des magasins chercher mes derniers cartons, pousser une dernière fois mon chariot dans les longs couloirs, etc. Tout ça pour « profiter » des rituels presque mécaniques que je ne ferais plus. Il y a effectivement un brin de nostalgie, juste un brin, dans cette fin de mission…comme pour mes stages d’ailleurs, avec ce sentiment d’en savoir un peu plus.



Partir, de toute façon, de n’importe quel endroit, fait et fera toujours quelque chose. Cela dit, je pars pour rentrer chez moi et débuter une nouvelle mission dans une nouvelle structure, d’où cette nostalgie toute relative. Aussi, j’aurais retrouvé Paris l’espace de 4 mois, 2 ans après l’avoir quitté.



Pour en revenir à l’article, il traite du Levant évidemment et sera publié dans la revue Combats & Opérations, je n’en sais pas plus. Plus précisément, la préparation, à la fin des années 30, du retrait des troupes françaises (l’Armée du Levant) du territoire Syrien passe par différents accords. En ce sens, j’ai choisi d’évoquer les relations franco-turques sur les questions territoriales entre la Syrie et la Turquie à travers un accord signé en juillet 1938 par les états majors Turc et Français concernant le Sandjak d’Alexandrette (territoire syrien cédé à la Turquie 1 an plus tard).

Accord général de 1937 entre les états-majors turcs et français sur le sandjak d'Alexandrette (in Combat et Opérations n°2)


mardi 17 janvier 2012

Retour aux sources.

L'intitulé polysémique de cet article voudrait ou plutôt pourrait tout dire. J’avoue que même, si au fond de moi, j’étais persuadé qu’à terme, j’allais revenir travailler dans ma ville de formation, je ne pensais pas y revenir si vite. L’occasion n’en est que plus belle puisque, quoi de mieux que d’aller relever un nouveau défi chez soit ? Tout est réuni si parfaitement que je le croirais uniquement lorsque j’effectuerai mon premier jour de travail d’ici un mois et demi environ.

Il y a donc des opportunités que l’on ne contrôle pas au départ, mais que l’on réceptionne avec engouement tout en se concentrant aussi profondément qu’efficacement pour savoir comment la gérer. Enfin, l’objectif, et c’est cela que l’on retient, est de la concrétiser.

MSH
Par conséquent, avec la très probable obtention d’un nouveau contrat dans un nouvel établissement, je pense que je peux être satisfait du travail que j’ai pu effectuer jusqu’à maintenant, de mon implication et application lors de ma formation théorique (cours) et pratique (les stages), mais aussi de ma volonté à trouver un poste rapidement après mon diplôme (en l’occurrence, au SHD). Tout cela réuni, m’a permis et me permettra, je l’espère, d’avancer dans ce métier d’archiviste.